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Les yeux d'Argus

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Archives de Catégorie: Un jour, une oeuvre

L’église Saint-Sulpice à Paris : sa construction a été financée au XVIIIe siècle…par une loterie !

14 mercredi Mar 2018

Posted by lesyeuxdargus in Paris, Un jour, une oeuvre

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Architecture, Paris

Saint-Sulpice

Eglise Saint-Sulpice à Paris

Les travaux de l’église Saint-Sulpice à Paris débutent en 1645. Le curé de la petite église de Saint-Sulpice-des-Champs, Jean-Jacques Olier a vu grand !

La petite bourgade qui s’était formée peu à peu au milieu des champs autour de l’abbaye de Saint-Germain-des-Prés sur la rive gauche de la Seine, est en pleine expansion. L’église étant devenue beaucoup trop petite pour accueillir tous les paroissiens, le curé décide d’en faire construire une plus grande, beaucoup plus grande… tout simplement la plus grande de Paris. Lire la suite →

« Saint Nicolas ressuscite trois jeunes gens mis dans la saumure » de Gentile da Fabriano

06 mardi Déc 2016

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Art religieux, peinture italienne

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Gentile da Fabriano, « Saint Nicolas ressuscite trois jeunes gens mis dans la saumure », vers 1425, musées du Vatican

Saint Nicolas est un des saints les plus populaires. Son personnage a donné lieu à de nombreuses histoires qui, bien sûr, appartiennent davantage à la légende qu’à l’Histoire. Il est cependant intéressant de les connaître car elles ont souvent inspiré les artistes. En ce jour de Saint-Nicolas, j’ai choisi de vous raconter la légende dite de “saint Nicolas et les trois enfants” magnifiquement illustrée par Gentile da Fabriano, vers 1425 (Musées du Vatican).

Un jour, un paysan très pauvre demande à ses enfants d’aller dans les champs pour glaner les quelques épis de blés laissés derrière eux par les moissonneurs. Les heures passent et les trois enfants pris par leur labeur ne voient pas la nuit arriver. Voulant rentrer chez eux, ils se perdent en chemin. Attirés par la lumière filtrant au travers des fenêtres d’une maison, les trois enfants s’approchent et frappent à la porte pour demander l’hospitalité à son propriétaire. Pierre Le Noir (Schwartz Pater pour nos amis germaniques), boucher de son état, leur ouvre la porte et leur propose un bon repas. Cependant, dès que les enfants franchissent la porte, il les tue tous les trois, les découpe en morceaux et les met dans son grand saloir.

Quelques temps plus tard, saint Nicolas, chevauchant son âne vint à passer par là. Il s’arrête lui aussi chez le terrible Pierre Le Noir et lui demande à souper. Ne pouvant refuser l’entrée de sa maison à un évêque, le boucher l’invite à partager son repas. Il propose au bon saint Nicolas toute sorte de pièce de viandes et de charcuteries dont sa maison regorge, étant donné son métier. Mais Nicolas refuse, une à une, ses suggestions et exige un petit salé. Le terrible boucher, se sentant alors démasqué, se repend (ou s’enfuit selon les versions). Le saint s’approche du saloir qu’il bénit d’un geste de la main et les trois enfants ressortent miraculeusement (et entiers) du grand saloir !

Bonne fête aux Nicolas…

« La jeune fille endormie » du musée des Beaux-Arts de Budapest

30 lundi Mai 2016

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Caravagisme

Jeune fille endormie - MBA Budapest

Jeune fille endormie, vers 1610-1620, Budapest, musée des Beaux-Arts

Certaines œuvres résistent encore à l’expertise des plus grands historiens d’art. Cette jeune fille endormie du musée des Beaux-Arts de Budapest en est un bel exemple. On ignore aujourd’hui qui en est l’auteur et son sujet lui-même intrigue.

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Mosaïques « des femmes en bikini » de la villa du Casale

08 mardi Mar 2016

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Antiquité, Mosaïques

femmes en bikini

Mosaïque « des femmes en bikini » de la Villa du Casale, Sicile, IIIe siècle après J-C

L’Antiquité est une époque fascinante, dont la « modernité » ne cessera jamais de m’étonner. Nous avons tendance à considérer que l’hygiène corporelle, la pratique d’une activité physique régulière ou le bikini sont des découvertes récentes qui distingue l’homme ou la femme « moderne » que nous sommes, des générations qui nous ont précédés. C’est pourtant totalement faux. Au IIIe siècle déjà, les épouses des citoyens de l’Empire romain se rendaient aux thermes avec leurs amies où elles pratiquaient différents sports et portaient des maillots de bain deux pièces qui n’ont rien à envier aux nôtres. Les magnifiques mosaïques de la Villa du Casale, une ancienne villa romaine située au sud de la Sicile, en sont un précieux et émouvant témoignage. Lire la suite →

« L’homme blessé » de Gustave Courbet

15 vendredi Jan 2016

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musée d'Orsay, peinture française, Romantisme

Courbet - L homme blesse

Gustave Courbet, L’Homme blessé, 1844-1854, Paris, musée d’Orsay

Les autoportraits occupent une place importante dans les œuvres de jeunesse de Courbet. Ils sont, pour le peintre, autant d’occasions de revendiquer son héritage auprès des peintres hollandais et vénitiens, mais surtout, d’exprimer son lyrisme romantique.

Avec cet Homme blessé, comme avec son célébrissime Désespéré, Courbet semble en effet vouloir nous prendre à témoin et nous convaincre de cette vision romantique, à la mode au milieu du XIXe siècle, qui fait de l’artiste un démiurge solitaire et incompris. A l’image de beaucoup de musiciens, peintres ou poètes contemporains, Courbet associe indéniablement création artistique et souffrance. Ainsi, il dira à Proudhon « La vraie beauté ne se rencontre parmi nous que dans la souffrance et dans la douleur » et ajoutera même à propos de ce tableau : « Voilà pourquoi mon Duelliste mourant est beau ».

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« Charmes de la vie champêtre » de François Boucher

06 mercredi Jan 2016

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Louvre, peinture française

Boucher-charmes de la vie champetre

François Boucher – Les charmes de la vie champêtre, vers 1740, Paris, musée du Louvre

Lorsque François Boucher peint ces Charmes de la vie champêtre vers 1740, le genre pastoral connaît un véritable succès auprès du public parisien et envahit tous les arts. Poèmes, romans, pièces de théâtre, opéras et tableaux mettent en scène les amours de bergers et bergères de convention dans une nature idéalisée.

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« Pommes et biscuits » de Paul Cézanne

23 vendredi Oct 2015

Posted by lesyeuxdargus in Un jour, une oeuvre

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Nature morte, peinture française

Paul Cézanne, Pommes et biscuits, Paris, musée de l'Orangerie, vers 1880

Paul Cézanne, Pommes et biscuits, Paris, musée de l’Orangerie, vers 1880

« Mangez des pommes » disait la marionnette de Jacques Chirac en 1995. Les Guignols de l’Info lui avaient attribué ce tic verbal uniquement parce Jacques Chirac avait choisi d’illustrer la couverture de son livre, La France pour tous, avec un pommier. Interrogé par Alain Duhamel sur le plateau du journal télévisé, il avait justifié ce choix en disant « J‘aime beaucoup les pommes, je suis un mangeur de pommes et puis j’ai trouvé que c’était joli… »

Qu’aurait dit Paul Cézanne si on l’avait interrogé sur sa passion pour les pommes ? Avec la montagne sainte Victoire, la pomme est en effet l’autre obsession picturale du peintre. Je n’ai pas compté le nombre de ses tableaux où figuraient des pommes (son catalogue raisonné comporte plus de 1000 œuvres peintes…) mais on sait qu’il à peint environ 200 natures mortes (20% de son œuvre, quand même !) et la majorité figurent des pommes… Mais pourquoi diable Cézanne aimait-il autant les pommes ?

Cézanne vouait une grande admiration à Chardin, le maître de la nature morte au XVIIIe siècle. Il passa de longues heures à contempler ses toiles au musée du Louvre. Puis, sur le modèle de son illustre prédécesseur, il décida de redonner ses lettres de noblesse à ce genre pictural totalement délaissé au XIXe siècle. Parmi toutes les natures mortes peintes par Cézanne, ce Pommes et biscuits, est sans doute celle où l’artiste reprend le plus littéralement la leçon de Chardin. D’abord avec ce bleu, le fameux « bleu de Chardin », très présent dans cette toile avec le papier peint fleuri à l’arrière-plan ou l’assiette à droite. Mais surtout au travers de la magnifique esthétique épurée adoptée par Cézanne. Sa composition est d’une grande rigueur : trois bandes horizontales de largeur à peu près égales : le devant d’un coffre, le mur du fond, et, entre les deux, le couvercle. Quelques détails viennent pourtant rompre l’austérité de la composition : une pomme qui dépasse sur l’horizon du couvercle, l’assiette de biscuits qui s’échappe du cadre à droite, l’ombre oblique du loquet fermant la coffre et enfin l’étrange silhouette de fleurs, esquissée sur le devant du coffre.

Ce qui intéresse Cézanne dans la nature morte, ce n’est pas de représenter de façon illusionniste le reflet de la lumière sur le verre d’une carafe ou la douceur du duvet d’un abricot comme le faisaient les peintres hollandais du XVIIe siècle mais la composition, le rythme de l’ensemble. Il concentre son intérêt sur l’agencement des objets, le traitement de l’espace. Ainsi pour Cézanne, l’important n’est pas tant les objets eux-mêmes que la façon qu’il a de disposer des coloris et des formes sur la toile. Et voilà pourquoi il peint souvent des pommes… Ce fruit à la forme simple et ronde, on dirait presque « tout bête » sait se faire oublier pour mieux mettre en valeur les formes et les harmonies de couleurs. Cézanne en lutte contre l’abstraction qu’il a toujours refusé est à la recherche d’objets aux formes les plus simples et pures et la pomme est la meilleure candidate qu’il ait trouvée. Elle répond en tout point à sa description de son art : « Tout dans la nature se modèle selon la sphère, le cône et le cylindre. Il faut apprendre à peindre des figures simples, on pourra ensuite faire ce qu’on voudra. »

Pour être tout à fait exhaustive, il faut ajouter à cette explication rationnelle et artistique, une explication plus sentimentale et poétique, au recours incessant de Cézanne au motif de la pomme. Ce fruit évoque pour le peintre sa grande amitié avec Emile Zola, futur écrivain et journaliste. Zola débarqua à l’âge de 13 ans dans le collège d’Aix-en-Provence où était scolarisé Cézanne. Chétif, doté d’un accent parisien prononcé, renfermé et plutôt brillant en classe, Zola devint très vite le souffre-douleur des autres élèves. Un jour, Cézanne doté d’un physique solide et d’un fort caractère, décida de briser l’omerta dont Zola était victime et de lui adresser la parole dans la cour de récréation. Il fut roué de coup par les autres élèves furieux, mais reçu en échange l’amitié indéfectible de Zola qui le remercia le lendemain en lui offrant… des pommes.

Le bol-sein du service de porcelaine de la Laiterie de Rambouillet

06 mardi Oct 2015

Posted by lesyeuxdargus in Un jour, une oeuvre

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Objets d'art

Bol-sein du service de la Laiterie de Rambouillet, Jean-Jacques Lagrenée, 1788, Sèvres, cité de la céramique

Bol-sein du service de la Laiterie de Rambouillet, Jean-Jacques Lagrenée, 1788, Sèvres, cité de la céramique

Louis XVI était, comme beaucoup de rois de France, un grand amateur de chasse. Il aimait tout particulièrement chasser en forêt de Rambouillet et demanda à son cousin, le duc de Penthièvre, de lui céder le château de Rambouillet pour disposer d’un « pied-à-terre ». Le problème est que Marie-Antoinette n’appréciait pas du tout le lieu qu’elle qualifiait de « gothique » (ce qui dans le langage de l’époque signifie « vieillot » ou « moyenâgeux »). Pour tenter de lui faire aimer le domaine, Louis XVI fit réaménager le parc dans le style anglais alors très à la mode et construire une laiterie à l’image de celle déjà construite en 1784 dans le hameau du Petit Trianon à Versailles., dont la reine appréciait le caractère champêtre et « pittoresque ».

Pour compléter cette surprise faite à son épouse, Louis XVI commanda pour la Laiterie de Rambouillet, un service en porcelaine de 65 pièces à la Manufacture de Sèvres. Parmi ces 65 pièces, figuraient 4 bols-seins ou jattes-tétons. La jatte-téton se compose d’un bol en forme de sein et d’un trépied indépendant, orné de tête de bouc, sur lequel repose le récipient. Cet incroyable objet devait être utilisé pour boire du lait, symbole de fécondité et surtout d’une vie simple et bucolique qui permettait à Marie-Antoinette d’oublier la sévère étiquette de la Cour.

Un bol moulé sur le sein royal ?

Un bol moulé sur le sein royal ?

L’ensemble des porcelaines de la Laiterie rivalisait d’audace par les formes : pots à têtes de chèvres, vases à anses étrusques, terrines à pieds de vaches… mais le bol en forme de sein obtient sans conteste la palme de l’originalité ! Voilà une idée bien grivoise et non dénuée d’humour qui étonne et fascine de la part du sage et réservé Louis XVI… Cela fit jaser et une légende vit aussitôt le jour : le galbe de le jatte-téton aurait été obtenu par moulage du sein royal ! Ceci relève bien entendu du fantasme et du dénigrement systématique dont fit l’objet le couple royal au moment de la Révolution. On imagine mal en effet la reine posant torse nu devant le céramiste de la Manufacture de Sèvres pour qu’il prenne l’empreinte de son sein…

Mastos corinthien à figures noires, vers 570-550 avant JC, Paris, musée du Louvre

Mastos corinthien à figures noires, vers 570-550 avant JC, Paris, musée du Louvre

La réalité est autre. La mode est à l’Antiquité et ce bol s’inspire de façon très érudite, d’une forme de vase grecque antique peu commune, le mastos. Ce type de vase en forme de sein était utilisé comme coupe à boire lors des symposiums.

Cet objet fut également utilisé pour reprocher à la Reine sa féminité et son goût pour le luxe. Pourtant, Marie-Antoinette n’est pas à l’origine de cette commande qui devait être une surprise. Elle n’a d’ailleurs sans doute jamais vu cet objet car il ne fut livré par la Manufacture de Sèvres qu’en 1788, à la veille de la Révolution. Or la dernière visite de la Reine à Rambouillet date du 20 juin 1786…

Coupe en forme de sein présumé de Pauline Borghèse, Jean-Baptiste-Claude Odiot, vers 1810, Paris, musée des arts décoratifs

Coupe en forme de sein présumé de Pauline Borghèse, Jean-Baptiste-Claude Odiot, vers 1810, Paris, musée des arts décoratifs

Après la mort de Marie-Antoinette, l’objet continua de fasciner. Au XIXe siècle, on en fit rééditer une variante en blanc et or pour suivre l’évolution du goût. Il inspira également le célèbre orfèvre de l’Empire, Jean-Baptiste-Claude Odiot qui créa vers 1810 une coupe en bronze doré en forme de sein (Paris, musée des arts décoratifs), qui aurait été réalisée d’après le sein de Pauline Borghèse, sœur de Napoléon, réputée pour sa frivolité. Poursuivant le même filon, en 2014, le mannequin britannique Kate Moss a accepté de prêter son sein gauche à un moulage qui a servi à la création d’une coupe de champagne en édition limitée….

« La mort de Casagemas » de Pablo Picasso

24 jeudi Sep 2015

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peinture française

Pablo Picasso, La mort de Casagemas, 1901, Paris, musée Picasso

Pablo Picasso, La mort de Casagemas, 1901, Paris, musée Picasso

Pourquoi Picasso s’est-il mis à peindre en bleu entre 1901 et 1904 ? Tout le monde se posa longtemps la question jusqu’à ce que Picasso y réponde lui-même en 1965. Il dévoila alors pour la première fois au public ce tableau, La mort de Casagemas, qu’il avait peint 64 ans plus tôt, en 1901. Il déclara alors « C’est en pensant que Casagemas était mort que je me suis mis à peindre en bleu ».

Derrière ce tableau, se cache une folle histoire d’amour et d’amitié qui se termine mal. Lire la suite →

« La Pietà de Nouans » de Jean Fouquet

10 jeudi Sep 2015

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Art religieux, Nouveau Testament, peinture française

Jean Fouquet, Pietà de Nouans, vers 1450-1465, Nouans-les-Fontaines, église Saint-Martin

Jean Fouquet, Pietà de Nouans, vers 1450-1465, Nouans-les-Fontaines, église Saint-Martin

Je vous ai déjà parlé, il y a quelques temps, du très grand peintre qu’était Jean Fouquet et de son tableau le plus célèbre, le Diptyque de Melun (ici). C’est une œuvre beaucoup moins connue mais toute aussi exceptionnelle que je vous présente aujourd’hui.

La Pietà de Nouans est méconnue du grand public car c’est une œuvre qui se mérite. On ne la découvre pas, au hasard d’une visite dans un grand musée d’Anvers ou de Berlin, comme les deux éléments du Diptyque de Melun. Pour la voir, il faut parcourir les petites routes de campagne et aller religieusement lui rendre visite dans l’église de Noauns-les-Fontaines, un petit village de moins de 800 âmes aux confins de la Touraine !

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